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Les Numéros 10

Qu'il soit bon ou mauvais, il arbore le célèbre numéro 10 !

Passons ces personnages hors-du-commun au scanner.


Lassana Diarra


Que dire de notre cher Lass… Il a quand même un sacré palmarès comparé à ses qualités de numéro 10. Et dire qu’il a porté le maillot de Chelsea, Arsenal, Real Madrid, OM, PSG, sans oublier quelques équipes plus exotiques. Lors de son transfert au Real Madrid en 2009, il a choisi le numéro 6 laissé vacant par Mahamadou Diarra. La saison suivante, il profite du départ d’un certain Wesley Sneijder pour s’emparer de la fameuse camiseta floquée du numéro 10. Le type jouait à côté de Mesut Özil et Di Maria.


Eh oui, dur d’y croire mais Lassana Diarra était le 10 du Real. En plus de ça, il a même rajouté une couche supplémentaire en mettant son petit surnom sur le maillot “Lass”. Même les plus grands ont eu l’audace de mettre leur petit nom. C’est comme si Mbappé mettait Kyky derrière son maillot, les ventes ne seraient pas si élevées. Comment résumé Lassana Diarra, c’est un peu un “Claude Makelele” mais en version Wish. Le même physique, la taille et corpulence donc, pas les poumons de Claude, ni sa grinta. Quand tu voulais une sacoche Louis Vuitton et qu’au final tu te retrouves avec une version du bled avec XL et non LV.

 

William Gallas


On débute notre rubrique des meilleurs pires numéros 10 de l’histoire. Pour ceux qui ont suivi un peu le fote, la question ne se pose pas du pourquoi du comment notre cher William est nominé. Pour ceux qui ont des posters de Rihanna dans leur chambre et ne savent même qui est cet homme à la calvitie plus brillante que sa carrière, voici une brève explication: Gallas est un défenseur de niveau moyen, très moyen pour être gentil. La seule chose qui l’a distinguée ? Il a porté le numéro 10 à Arsenal… Pour vous dire, même Thierry Henry n’avait jamais porté le numéro 10 des Gunners ! On comprend mieux leur longue absence sur le devant de la scène européenne… Il sera également fidèle à lui-même et visitera les quatre coins de Londres en passant par Chelsea, Arsenal et Tottenham. Clairement, il ne restera pas dans les livres d’or du football…

 

Wylan Cyprien

Comme vous l'avez sûrement deviné, on passe aux pires numéros DIX.

Cyprien est un objet mystérieux venu tout droit de France (Guadeloupe). Il commence sa carrière de Youtubeur en collaboration avec Squeezie et sa chaîne fait tout de suite un tabac ! Ah mince c’est pas ce Cyprien-là?! Bon faut dire la vérité, ça aurait été plus crédible qu’il soit youtubeur ou tiktokeur plutôt que joueur de football professionnel… Pourtant, sa carrière avait bien débuté. Formé au Paris FC (non ce club a pas encore été racheté par les qataris). Il commence sa carrière professionnelle au RC Lens, rien à voir avec le Christ-Roi en Valais, avec lesquels il dispute 15 rencontres sa première saison, sans faire trembler les filets. A l’époque, Barthélémy Constantin voyait déjà en lui la recrue idéale afin que les Sédunois jouent chaque match à 12 contre 10… il poursuit néanmoins son petit bout de chemin avec un promotion en ligue 1 avec le RC Lens. Il termine meilleur buteur du championnat avec 1 but en 23 matchs !

C’est décidé ! Barth le veut à Tourbillon. Mais Cyprien se laisse désirer, il décide de poursuivre son aventure avec Lens pour la première fois en Ligue 1 où il inscrit 7 buts en 34 matchs. Il a eu raison, y a du progrès mais le ratio reste aussi catastrophique que ses contrôles désorientés. Son apogée : Cyprien rejoint l’OGC Nice avec qui il restera 4 saisons, comme la pizza de la Porte d’Octodure, son arrivée à Sion se profilait de plus en plus. Ses débuts sont plus que prometteurs et il se confirme comme la révélation du championnat français. Malheureusement pour lui, un peu comme tous ceux qui lisent cet article, il aurait pu devenir encore plus fort, mais rupture des ligaments croisés alors qu’il collectionnait 8 buts et 3 passes D en 29 matchs! Coup du sort pour Wylan… les Qataris se voyaient déjà faire une offre de quelques dizaines de millions d’euros pour le recruter mais non… Il file à Parme et signe pour 5 ans. L’occasion de se relancer! Et bah non, Parme est relégué en série B et lui se retrouve contraint d’être prêté aux Sédunois. Il aurait pu entraîner sa finition avec Buffon mais il finira par travailler sa phase défensive avec Kevin Fickentscher… tout le reste n’est qu’histoire connue pour les supporters sédunois. Et dire qu’il a disputé 185 matchs de Ligue 1 pour 32 buts avant de venir s’éteindre à Tourbillon. Mais peut-être qu’il pourra toujours songer à une carrière de youtubeur à Malte après tout, le pseudo de «Cyprien» a déjà beaucoup de notoriété sur internet…

 

Zidane


Zinédine... et dire que sur un coup de tête on pourrait basculer dans la section du haut.

«Pas ça Zinédine, pas maintenant, pas après tout ce que tu as fait!»

Mais qu’est-ce qu’il a fait ce bon vieux Zizou? Actuellement entraîneur auprès de l'Olympique des Alpes, FC Sion, notre bon vieux numéro 10 tente d’enseigner à Cyprien les bases du football. Bon vu que son salaire était trop élevé, ils ont finalement engagé son ancien adjoint mais ça fera l’affaire. Revenons à nos moutons. Non pas parce que notre cher Zizou a des origines algériennes… Bref, si on devait décrire le génie gaulois, on pourrait facilement le faire grâce aux propos de notre cher ami Dugarry : «Il ne faut pas croire que Zidane c’était Messi. Il avait un talent, quelque chose de différent. Mais il était très lent, physiquement il avait du mal à tenir tout un match… Ce n’est que du travail, de la répétition. À 18 ans je pense qu’on avait à peu près le même niveau technique, je te promets. Sans vouloir faire le faux modeste. Mais je pense qu’on avait des ressemblances techniques au niveau du potentiel et du talent, sauf que lui a bossé, et moi non.» Bon vu la carrière de Christophe, on peut en conclure qu’il est bien français et incarne le seum en personne de ne pas avoir gagné autant que lui.

Zidane est également l’idole de la relève française emmenée par Kylian Mbappé. Comme le confirment ses propos dans diverses interviews, Kyky de Bondy a dit notamment : «Si on regarde les meilleurs dans l'histoire, c'étaient des noirs et des arabes.» ou encore sa passion pour la calvitie autant brillante que Zizou quand il était jeune et voulait la même coupe… de cheveux. Eh oui, notre cher Zizou sera toujours considéré comme une légende en France et en Italie, mais pas forcément pour son passage à la Juventus… mais plutôt pour avoir échangé Materazzi avec une piñata.

Zidane est le «Numérobis» préféré des français après avoir conquis l’Égypte avec Jamel Debbouze dans Astérix.

Attention c’est la danse du coup de boule !

Coup de boule à droite !

Coup de boule à gauche !

Allez les bleus ! Zidane il a tapé !



Messi

Dans la bible, on raconte la venue d’un soi-disant «fils de Dieu». Qu’on y croit ou non, l’histoire s’est répétée avec la venue du petit Jésus envoyé pour rejoindre le grand Diego : Lionel Andrés Messi Cuccitini. Qui sait, peut-être que dans le nouvel exemplaire du Nouveau Testament 2 qui sortira prochainement dans toutes les librairies évangéliques, notre cher Léo sera représenté par une chèvre. Bon dit comme ça… ça le fait moyen, alors disons-le en anglais : G.O.A.T. ou greatest of all time (le plus grand de tous les temps) pour ceux qui parlent aussi bien l’anglais que Nabil Fekir.

Telle Luke Skywalker à son apogée face à son père Dark Vador dans Star Wars, Léo a surpassé son prédécesseur: plus de 750 matchs joués, plus de 700 buts marqués, 7 ballons d’or (8e en marche) et un nombre incalculable de trophées individuels et collectifs. Bon Léo, t’as dû acheter une baraque grande comme le Stade de Tourbillon pour entreposer tous ces trophées? D’ailleurs, d’ici quelques temps le stade sera libre si tu souhaites le transformer en musée… . Tout comme son prédécesseur, l’immense (du moins par le talent) Don Diego, Léo nous a offert une pépite de trash talk lors de la coupe du monde qu’il a remportée : «Que Mira bobo?» a qui cette phrase était-elle dirigée? Peut-être qu’il désignait à son tour son héritier : Rui “Mira”, actuellement au FC Miège.

Et dire qu'un joueur de son calibre prend des vacances à Paris après une étincellante carrière du côté de Barcelone. Je pense qu'en tant que grand fan de basket, il voulait simplement avoir un maillot Air Jordan, rien de plus...



Roberto Baggio

« Il divin codino »

Les moins jeunes d’entre nous se souviendront de «Roby» comme un génie de sa génération. Les plus jeunes d’entre nous se rappelleront de lui pour ce pénalty manqué face au Brésil en finale de coupe du monde 1994. Et pour ceux qui ne se rappellent pas de lui, ils ont sûrement un poster de Britney Spears dans leur chambre.

Petit retour en arrière sur qui était Roberto Baggio et pourquoi il avait une queue de cheval… sur la tête hein. Baggio était considéré comme le Maradona des temps modernes en Italie. Non pas pour la farine à pizza, mais bel et bien pour la classe et le talent à l’italienne qui le distinguaient. Il commence sa carrière avec le LR Vicence en 1982. Très vite repéré par la Fiorentina, son transfert sera bouclé 3 ans après son arrivée. Coup du sort, Roby se casse les ligaments croisés. Oui, lui aurait pu utiliser l’excuse de la blessure au genou pour justifier sa carrière manquée de footballeur, mais il préfère se battre et entrer dans la légende. Sa carrière se poursuit avec des passages à la Juventus, l’Inter et l’AC Milan notamment. Tiens tiens… ça me rappelle un géant suédois à l’égo surdimensionné se prenant pour Dieu… mais bon revenons-en à nos moutons. Ou plutôt nos vaches dirais-je… oui parce Roby, après s’être déchiré les ligaments croisés, a décidé de se convertir au bouddhisme. Voilà l’explication «Del Divin Codino». Il obtient en 1993 son seul et unique ballon d’or. Pour vous dire, à l’époque, il le remporte face à des monstres sacrés de l’histoire du football comme le trio hollandais du Milan AC : Van Basten, Gullit, Rijkaard. Baggio était l’un des numéros 10 les plus redoutables de l’histoire. Son plus grand adversaire restera néanmoins son genou qui l’aura obligé à s’opérer 3 fois durant sa carrière. A noter également comment Trapattoni l’a écarté de la coupe du monde 2002 suite à une nouvelle blessure à ce même genou l’obligeant à subir une troisième intervention. Il divin codino s’était remis en un temps record (environ 2 mois) et était prêt à participer à sa dernière édition de la coupe du monde. Son premier match après sa blessure restera légendaire : menés 1-0, Baggio et compagnie retourneront la situation. Roby, entré pour les 15-20 dernières minutes, claquera un doublé, l’air de dire «que mira Trap». Malheureusement, Trapattoni ne le convoque pas et Roby termine sa carrière deux ans plus tard à Brescia. Il aura provoqué notamment plusieurs crises d’hypertension à son entraîneur, Carlo Mazzone, l’homme qui découvrit Andrea Pirlo. Son dernier match, comme si tout avait été programmé, eut lieu à San Siro, « la scala del calcio », l’Italie rendait hommage au plus grand numéro 10 de son histoire ce jour-là, sous les applaudissements de 90’000 spectateurs. On conclura avec ses paroles : «Da quando Baggio non gioca più, non è più domenica» traduction pour les non-mangeurs de lasagne : «Depuis que Baggio ne joue plus, ce n’est plus dimanche».



Maradona

«El Pibe de oro» ou le «gamin d’or» pour ceux qui n’ont pas mangé assez de jambon Serrano pour être bilingue, a été sans aucun doute l’un des plus grands joueurs que l’histoire du football ait connu. Du haut de ses 165 cm, le génie argentin a écrit l’histoire et même plus. En effet, nos amis du Vésuve (Naples en Italie pour ceux qui mettent de l’ananas sur la pizza) ont vu en lui une véritable réincarnation de Dieu. Ce même Dieu est descendu sur Terre le 22 juin 1986 afin d’inscrire l’un des buts les plus controversés de l’histoire : «la mano de Dios» ou la main de Dieu pour ceux qui n’ont toujours pas mangé de la paella. Et pas seulement, Diego a quand même fait gagner tous les titres majeurs au SSC Napoli, 2 championnats d’italie (le 3ème tant attendu a été gagné cette saison…), une Coupe d'italie, une Supercoupe d’italie et même une Coupe UEFA. Pas mal pour un type débarqué en 1984 au San Paolo devant 70'000 supporters pour sa présentation officielle au peuple Napolitain.

Don Diego nous a quitté tragiquement le 25 novembre 2020, laissant derrière lui une trace indélébile dans les livres d’histoire du football : 589 matchs, 311 buts, 1 coupe du monde et les dents de Goikoetxea. Naples ont renommé leur stade en son honneur. Disons-le également, notre ami Diego était le Zlatan de son temps. Voici l’une de ses punchlines les plus emblématiques suite à sa fameuse «mano de dios» : «un peu de la tête, un peu de la main de Dieu». Mon cher Diego... tu étais un joueur extraordinaire, mais on sait tous où ta tête a fini en fin de carrière... dans la farine à pizza napolitaine bien sûr.

À jamais D10S 💙



Pelé

Comment parler de numéros 10 historiques de l’histoire du fote sans parler de : « O Rei » ou le roi en français, car c’est bien connu, au pays du « joga bonito » le roi est le ballon rond. Edson Arantes do Nascimento, plus connu sous le nom de « Pelé », est encore à ce jour, le joueur ayant inscrit le plus de buts dans l’histoire. Tenez-vous bien! Ce n’est pas votre petit cousin de 6 ans qui vous dit le nombre de buts qu’il a marqué en 1 seul match, mais bel est bien le roi qui l’affirme : 1’283 buts! On dit souvent que les hommes mentent, pas les chiffres mais bon là faut pas abuser non plus. Même un joueur de 5e ligue ayant commencé à 3 ans et comptant chacun de ses buts toutes compétitions confondues : entraînements, matchs amicaux, matchs de championnats, matchs de coupes, matchs FIFA, matchs contre les cousins de 3 ans qui tiennent autant debout que Maradona observant les matchs de l’Argentine et j’en passe à vous de continuer (plus c’est gros plus c’est crédible!), n’aurait jamais comptabilisé autant de réalisations. Faut quand même le dire, Pelé a joué de 1956 à 1977, compliqué à l’époque de prouver ses dires sachant que la télé n’était même pas accessible dans certaines régions du monde (on ne parle pas du pays qui a racheté le PSG, eux ne connaissent même pas ce sport jusqu’en 2013). La grande majorité de ses buts ont été réalisés lorsqu’il jouait pour Santos et NY Cosmos, même pas en Europe où il n’a jamais mis les pieds à part pour rafler une de ses 3 coupes du monde en Suède. On peut sans autre supposer que les défenses étaient autant bonnes que celle de Grimisuat (et non c’est pas au Brésil, comprendra qui pourra). Sur ce, je vous laisse, je vais claquer 1’283 francs sur FUT en espérant le packer tellement il est cheaté l’ami.



Totti

Si vous cherchez plus fidèle que votre partenaire actuel, sachez que vous pouvez oublier. Autant vous convertir au bouddhisme et vénérer une vache (on parle pas de votre femme) comme Roberto Baggio. Le dernier exemple de loyauté et d’attachement à une seule et unique cause a pris sa retraite en 2017. Francesco Totti, dit « Er Pupone » a juré amour éternel à sa bien aimée AS Roma. Totti et la Roma, c’est 24 ans de carrière professionnelle l’un avec l’autre. Il devient capitaine de l’équipe à seulement 22 ans et disputera près de 800 matchs officiels avec les Giallorossi. Sa carrière sera couronnée de quelques trophées, Champion d’Italie en 2001 (Serie A), 2007 et 2008 (coupe d’Italie), 2001 et 2007 (super coupe d’Italie). Jusque là rien de bien incroyable. Il collectionnera les secondes places dans les grands rendez-vous : 9x vice-champion d’Italie Serie A, 5x vice-champion d’Italie en coupe d’Italie, et 3x finaliste perdant de la supercoupe d’Italie. Les mauvaises langues diront, pas étonnant venant de la deuxième équipe de Rome… bon en soit c’est un discours politique, on est pas là pour choisir entre le communisme et le fascisme. On laissera ça à Poutine et Biden. On se rappellera de lui pour sa splendide Panenka en demi-finale de l’Euro 2000 face à Van Der Saar et les hollandais. Di Biaggio, autre légende du football italien, se confiera quelques années plus tard : « Je me suis tourné vers Francesco et je lui ai dit que j’avais peur. Le gardien fait 2 mètres de haut. ». Il Pupo et son calme légendaire lui répondront : « Si si, mo je faccio er cucchiaio » en romain qui veut dire en français : « oui oui t’inquiète je lui mets une panenka ». Et oui Totti c’était aussi ça. Un grand attaquant, capable de marquer de n’importe quelle position sur un terrain. Sûrement l’italien doté de la frappe la plus puissante de l’histoire des Azzurri (non pas de Lausanne). Son heure viendra en 2006, rebelote… 8e de finale de coupe du monde… Materazzi, oui le même fou qui avait fait câbler Zizou, s’était fait expulser après quelques minutes de jeu. Match difficile, serré et tendu, toujours 0-0… 93e minute, le prédestiné Fabio Grosso (oui il a gagné une coupe du monde et a été décisif avant de tomber bien bas et d’entraîner Sion…), obtient un pénalty. Aux 11 mètres, se présente Francesco Totti. Chaque italien a pensé la même chose à ce moment là… il va faire une panenka… (oui chaque italien le pensait et si un seul me traite de menteur, il est sûrement français). Longue respiration, il regarde le ballon, l’arbitre, le ballon, l’arbitre, le gardien, le ballon, sa femme, l’arbitre, ta femme, coup de sifflet, et ballon dans la lucarne! L’Italie conclura sa fabuleuse épopée avec la conquête de la 4e étoile et Totti aura enfin vaincu la malédiction de l’éternel second. Totti était également quelqu’un de sanguinaire… finale de coupe d’Italie 2010 face à l’Inter, Super Mario Balotelli a le ballon près du poteau de corner, il le protège, le défend comme si c’était les couleurs du FC Sion. Totti arrive et fait ce que chaque supporter sédunois voudrait lui faire en ce moment… hop gros kick dans la rotule droite et Mario à genoux. L’arbitre n’avait pas compris qu’il s’agissait d’un père corrigeant son fils trop turbulent et l’expulsa. La rumeur court, que depuis ce moment-là, Balotelli est devenu le premier enfant roi de l’histoire. Mais bref, tout ça pour dire que malgré que les italiens soient machos, nous avons des exemples de fidélité et loyauté envers un club que beaucoup de jeunes devraient suivre. En tout cas pour le foot, pour la vie sentimentale tu fais comme tu veux…



Ronaldinho

Chaque héros a son digne héritier. Les brésiliens en ont vu défiler durant les années et non on parle de joueurs pas de danseuses de carnaval… Ronaldo de Assis (c’était sa position en sortant de boîte de nuit) Moreira, plus connu sous le nom de : « Ronaldinho » reste à ce jour l’héritier le plus crédible du roi Pelé. Notre cher « Ronny » est également connu sous le nom de « Ronaldinho Gaucho ». D’après des rumeurs fondées, ce surnom serait apparu lors de son passage en 1993-1994 du côté de Tourbillon. Parole des supporters de l’époque : « mais il est Gauche çuici ». Comme toujours, le supporter sédunois moyen en avait vu long sur le potentiel de sa jeune pépite venue d’outre mer… Résultat? Est-ce qu’il faut vraiment récapituler l’immense carrière de cet extraterrestre? Je pense que la question est vite répondue. Si t’es sur cette page, tu connais Ronaldinho. Si tu le connais pas bah voilà un bref récapitulatif : cheveux longs frisés tel Ruud Gullit ayant fait un lissage brésilien, des dents autant pourries que les contrôles de Cyprien, une technique folle ayant obligé les entreprises pharmaceutiques à développer le Dafalgan pour les défenseurs, mais avant tout, une hygiène de vie digne d’un joueur moyen de 5e ligue Valaisanne. Entre boîtes de nuits, alcool, prostitution et retours à la maison juste pour le début de l’entraînement, on peut le dire haut et fort! C’est bel est bien le FC Sion qui a formé le ballon d’or 2005! Au vu de la suite de sa carrière loin de Tourbillon, on a de quoi être fiers! Reste plus qu’à faire la même chose avec Balotelli… quoi que, il était déjà formé pour les sorties extra-professionnelles…

On conclura notre hommage à Ronny avec une célèbre interview de Claude Makélélé : « Petit, je préfère que tu me dribbles dans de bonnes conditions, mais t’es trucks de PlayStation là, moi je vais t’envoyer à l’hôpital. » on n'ose pas imaginer le nombre de cartes « Ronaldinho » finies à l’infirmerie sur FUT23… Brésil ou pas, m’en bats les couilles…

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